Everanna Phoebe McAllister

« Monsieur et Madame McAllister vous avez une fille »
« Elle s'appellera Everanna Phoebe »
« Excellent choix de prénoms, félicitation »

Je suis née en 1980 en Floride, mes parents était fier d'avoir eu une fille, c'est ce dont ils rêvaient si je peux dire ça ainsi. Le jour de ma naissance fut en plein hiver, et pourtant il n'y avait pas une trace de neige sur la Floride, le soleil était là, comme toujours. Ma mère n'avait pas de travail, mère au foyer, mon père lui était informaticien, donc on ne peut pas dire qu'il était extrêmement absent de la maison. A ma naissance il y avait déjà sept enfant à la maison, j'était donc la petite dernière, mais sûrement pas celle à qui on accordait de l'attention, que du contraire. Je ne vous parlerait pas de mes frère set sœurs, sans doute que je ferait parfois quelque petite allusion, je vais juste vous citer leur prénom. dans l'ordre, Alana, Nate, ensuite les triplé, Andrew, Dean et Matthew, puis Cyrielle, ensuite Leah et moi la dernière Everanna.

Malgré que j'était la dernière, je ne recevais pas plus d'attention, vous allez me dire sa peut se comprendre quand on doit s'occuper de huit enfants à la fois. Mais quand même, j'avait l'impression d'être invisible, de temps en temps j'avait ma mère qui venait voir si sa allait mais sans plus quoi. En grandissant, je ne recevait toujours pas tant d'attention, mes rêves était bercer par la gloire te l'honneur que je n'avait pas. Mes frère et les sœurs était toujours meilleur que moi, il excellait tous dans un domaine, que se soit l'équitation, la danse ou tout autre chose, mais j'était pas la meilleur dans un domaine, j'était la moins aimée, la plus effacée. Quand j'eut atteint l'age de 16 ans j'en avait marre de toujours n'avoir aucune attention de la part de mes parents, alors j'ai commencer les "bêtises", percings sans leur consentement, teintage de cheveux sans leur approbation, et enfin là je recevais de l'attention, même si c'était pour me crier dessus, j'était contente car on me voyait enfin, je n'était plus invisible.

Un jour, pour les 17 ans de ma sœur Leah, mes parents on fait venir un artiste de cirque, j'était en extase devant tous les tours qu'il faisait, en passant des tour de magie, au lancé de couteau. Ce qui ma le plus fasciné c'est sans doute le lancé de couteaux, j'ai même demandé a ce que l'on m'apprenne, et j'était plutôt doué, enfin à 16 ans je trouvait le domaine dans lequel j'était meilleur que les autres. J'était comment dire, habile avec les couteaux, je m'amusait même à faire des frayeurs à mes parents, pour une fois que j'avais de l'attention, je ne m'en plaignais pas, croyez-moi. Mas avec ce domaine ou j'excellait autre chose changea dans ma vie ...

« Non, ne me faite pas de mal, pitié »
« Je n'ai de pitié pour personne »
« S'il vous plait »
« Au revoir »

Je venais d'assassiner quelqu'un, et j'en rigolait, pourquoi j'ai fait ça ? Pour avoir encore et toujours plus d'attention, je ne demandait que ça, et que l'on parle d'une meurtrière qui tue juste à l'aide de couteaux me plaisait bien. Évidemment personne ne savait que c'était moi cette meurtrière, mais moi je le savais et c'est ce qui comptait. Je devenais de plus en plus meilleur dans les meurtres que je commettait, laissant de moins en moins de trace, et on parlait de moi encore plus. Qui aurait cru que celle qui faisait tous cela était la petite Everanna au visage d'ange ? Mais n'oublier pas qu'un visage d'ange peut cacher bien pire, une personne, sournoise, hypocrite et fausse, se cachant sous l'enveloppe d'une jeune fille douce, attentionnée et adorable. Mon dernier meurtres fut commis alors que j'avait 18 ans, moi je ne voulait pas m'arrêter, mais je me suis faite arrêtez par la police, ma dernière victime avait appelé du secours sans que je m'en rende compte.

Je passa donc devant le juge, autant dire que le jugement est tombé quatre mois plus tard, ne me demander pas pourquoi ça a autant traîné, je n'en sais trop rien, peut-être a cause du nombre de mes victimes.

« Mademoiselle Everanna Phoebe McAllister, votre jugement a été prononcé »

Je savait déjà que j'allait aller en prison, c'était logique et facilement devinable. Ce que je me demandait c'était le nombre d'année, que j'allait y rester, 10 ans , 20 ans, moins ? Plus ?

« Vous êtes condamné à 15 ans de prison »

Donc quand je sortirait j'aurais passé 30 ans, et bien c'est beaucoups. Je fut donc amené à la prison pour femme de Floride, le traitement y était pire, c'est à peine si on vous donnait ne serait-ce qu'un peu d'attention. Les visites ? Rare, très rare, trop rare. Le plus souvent c'était Nate le plus vieux de la famille qui venait, mais quand il venait les discutions était du genre:

« Eve' pourquoi as-tu fait ça ? »
« Si je dit pour le plaisir tu me crois ? »
« Non, je ne te crois pas, il y a une autre raison à cela »
« Tu veux vraiment savoir la raison ? »
« Oui Everanna »
« OK, pour une fois j'avais de l'attention, je n'était plus invisible, on parlait de moi, même si c'était en mal, on parlait de moi. On me prêtait ne serait-ce qu'un minimum d'attention, ce que papa et maman n'ont jamais fait, c'est à peine si pour eux j'existait, l'invisibilité était ma plus grande qualité à leur yeux, j'en suis sur ... »
« Oh Everanna »
« Maintenant Nate laisse moi ... »

Je fêta mes 19 ans en prison. J'ai eu le temps de réfléchir, et j'ai ressentit tout l'horreur des crimes que j'ai pu commettre et quelques jours après mes 19 ans, je me suicida, m'ouvrant les veines, avec un couteau, on ne remarqua pas tout de suite ce que je venait de faire. Comme d'habitude. Ce fut au moins une heure plus tard, lords d'une des rondes des gardiennes que:

« Et m*rde »
« Quoi qu'est-ce qu'il y a »
« La fille de la cellule 40, Everanna »
« Quoi ? »
« Elle est morte ... »

« EVEEEEEEEEEEEEEEE »
« EVE REVIENT !! »
« POURQUOI TU AS FAIT SA ?? »

Je m'était ouvert les veines, mon sang coulait sur le sol, je perdit de suite connaissance. Ils ont de suite appelé mes parents quand ils ont découvert mon corps. La personne qui me crie de revenir est Nate mon plus grand des frère, celui qui m'a toujours accorder un minimum d'attention. Mon corps fut transporter à la morgue, on y fit des examens, même si les médecins savaient très bien que j'était morte après avoir perdu une grande partie de sang. Mes yeux étaient clos, mon corps se refroidissait, je devenait froide, mon cœur était arrêter, mon sang ne circulait plus, mes poumons ne se gonflait plus, j'était inerte, sur la table du médecin. Un enterrement fut fait, je n'ai jamais crut à la vie après la mort, peut-être aurais-je dut y croire ?

Je me réveilla, j'était dans une embarcation, sur une mer qui s'étendait jusqu'a pas de fin, j'était allongée dans cette barque, j'était légère. Moins lourdes, ce n'était pas le monde des vivants, non je n'avais pas ressuscité, loin de là, je pensait avoir une petite idée de où j'était atterrie. Les religion parlait beaucoup du purgatoire, la passerelle entre l'enfer et le paradis, sans doute était-ce ici. Je me releva tant bien que mal dans la barque, il faisait sombre, soudain la barque s'arrêta sur un îlot, ou une île ou un truc de ce genre, il faisait trop sombre pour y voir quelque chose. Je fut alors "accueillie" par un ... euh ... une personne ? On peut appeler ça une personne que c'est un mort ?
Oh mon dieu, je suis morte, le déclic vient de se faire ! J'ai perdu toute ma famille, oh mais je ne dois pas être une grande perte peut eux, s'est à peine si il voient la différence, de toute façon ils ne venaient pas beaucoup me rendre visite à ma prison. Enfin bref.
Je fut accueillie sur cette "terre" par une personne au visage très ... très ... trop ... maquillé, c'est à peine si on distingue ses trait.

« Euh ... »
« Bienvenue ici »

Je n'arrivait même pas à prononcer un seul mot, me demandant ce que je pourrait bien dire. Il, cette personne, m'expliquais quelques trucs, toujours en restant dans le vague le plus complet, c'est à peine si il arrivait à vous faire réfléchir sur ce qu'il vous disait. Quelques instants plus tard, il était parti avec un rire a vous faire froid dans le dos. Je me retrouvais alors seul ici.

« Ok »

Me disais-je plus moi même. j'avais alors regardé autour de moi, sans trop savoir se que je pouvais faire. C'est vrai quoi, que fait-on lorsque l'on ai mort ? J'était perdu, ne sachant pas quoi faire. Je m'endormit alors je ne sais où, je me réveillait le lendemain dans une pseudo maison abandonné, si je peux m'exprimer ainsi, j'avais du déambulé sans but.

Quelques année s'écoulère ou je passa ma mort dans le purgatoire. Des année sans fin, ou il n'y avait rien à faire, où s'était l'ennuie total. Jusqu'au jour je rencontrait quelqu'un, je ne conaisait pas cette personne, je ne l'avais jamais vut, mais cette personne apparament ne me voulait pas que du bien.

« Que me voulez-vous ? »

J'était en colère ce jour là, ne me demandez pas pourquoi, ces dernier temps j'était beaucoup en colère, contre moi même, contre ce que j'était et ce que j'avais été dans ma vie antérieur. Certaine personne ici avait des don,

« Ne t'inquiète pas, tu ne sentira rien. »

Cette personne me fixa des yeux, je savais qu'elle allait vouloir entré dans ma tête et me faire des chose que je ne voulait pas faire. Sans le vouloir je bloqua alors mon esprit, comme un bouclier, oui j'avais un don, je pouvais paré tout les pouvoir psychique, manipulation mental, télékinésie, j'avais le pouvoir du bouclier psychique. Ne savant pas ce qu'il s'était paassé, cette personne me laissa et partit, moi je peux vous assré que j'était perdut, attendez comment réagiriez vous, si on avait éssayer de manipulé votre esprit et que vous vous aviez bloquéez celà ?

Deux ans plus tard, je déambulait comme toujours dans les rues du purgatoire, sans but vraiment précis, quand je marchait j'avais jamais de but, me demandant toujours ce que je faisait là alors que j'aurais pu être autre part, mais que j'était ici, enfin bref. Je déambulait comme toujours, quand une vague de je sais pas quoi parcourut mon corps tou tentier, comme si vous resseviez une décharge électrique, mais qu'il est impossible d'en mourir car vous êes déjà mort. Des petites étincelle sortirent de mes doigt, rien de bien dangereux, des étincelle quoi. Ma première réaction fut l'étonnement. Oh au début je me suis déjà que ce n'était ien, on a tous un peu d'électricité statique dans le corps. Mais quelque jours sa a recommençé, et les étincelles étaient un peuplus grande. Elle grandissait de jour en jour. J'appris par la suite que j'avais un second pouvoir qui se nommait l'éelectrokynesie, un peu du genre à la maitrise de l'electricité. Les jours où j'ai découvert mes deux pouvoirs sont sans doute les plus marquand de mes année de morte. Je pouvais maintenant en plus de me défendre contre des ataques psychique me défendre en attaquant mo-même.

Sa fait maintenant 65 ans que je suis au purgatoire, dix longue année, enfin je dit longues, mais quand on est mort on ne voit plus le temps et passé. Je me suis rangée du côté du bien, ma rédemption, face à ce que je commis pendant mon vivant. Autant avant j'aurais put me plaindre d'être décédée, mais après tout c'est moi qui l'ai décidé, en me coupant les veines il y a dix ans. J'ai aussi appris à contrôler mes pouvoirs, ce qui n'était pas facile avant, un coup de colère et je balançait de l'électricité partout. Et surtout ne me donné jamais comme surnom l'électricienne, ça me met en rogne, sachez le.